Incinération : comment est-ce que ça marche ?

Incinération

Après une mûre réflexion, certaines familles qui viennent de perdre un être cher optent pour des incinérations. Ils ont fait cela pour des raisons différentes. Pour eux, cela permet de résoudre quelques problèmes dus aux imprévus. Le recours au vrai professionnel s’avère indispensable pour cette opération. Cet article vous donne quelques aperçus sur l’incinération.

L’incinération : de quoi s’agit-il au juste ?

L’incinération, appelée aussi crémation, consiste à bruler le corps d’une personne décédée. Cela réduit celui-ci en cendres. Après cela, les cendres funéraires sont recueillies et conservées dans une urne funéraire que la famille et les proches ont déjà choisie auparavant avec le conseiller funéraire PFG. La réalisation de l’incinération a eu lieu dans un lieu qu’on appelle communément crématorium. Cela s’est fait dans un délai de six jours, au maximum, après le décès, sauf exception. L’entreprise de pompes funèbres exécute toutes les démarches nécessaires ou en partie en matière d'incinération.

Les contextes de l’incinération

Le prix d’incinération peut varier suivant le service adopté pour les familles : cérémonies, salle de convivialité, chambre funéraire, fleurs ainsi que le modèle d’urne, etc. Alors, il faut se préparer au point de vue financier pour organiser une crémation. Pour le transport de l’urne funéraire par la route la famille du défunt a le droit de s’en charger elle-même. Mais d’autres familles voient qu’il est judicieux de faire appel à un opérateur funéraire et ont recouru à un véhicule spécialisé. Néanmoins, dans ces cas-là, les proches d’un défunt ou l’opérateur funéraire particulièrement chargé pour l’opération doivent avoir avec soi le certificat de crémation. Quant au prix de l’urne, il est très fluctuant. Il existe de modèle très cher ainsi que des modèles à prix modérés. Après l’incinération, il faut prendre en compte l’endroit dans lequel la famille peut garder momentanément les cendres.

La dispersion des cendres

La loi promulguée en décembre 2008 a interdit de garder chez soi les cendres de la personne décédée. De nos jours, après l’incinération, les héritiers ne peuvent plus partager les cendres entre eux. Pendant une année, au maximum, l’urne pourra être gardée au crématorium ou dans un endroit de culte si l’association cultuelle en donne la permission. D’autres familles ont opté pour un caveau. La mise dans un caveau a besoin d’une autorisation du maire. Enfin, l’urne peut être enterrée dans une sépulture, scellée sur une pierre tombale à l’intérieur d’un cimetière ou déposée dans un columbarium. En France, les cendres peuvent être éparpillées dans un jardin du souvenir. Ce dernier est un lieu aménagé spécialement pour cela dans le cimetière. Autre possibilité, la dispersion en pleine nature est autorisée. Mais, dans ce cas, la personne spécialement mandatée des obsèques doit faire une communication à la mairie de la ville de naissance de la personne décédée. Certaines familles ont choisi de jeter les cendres à la mer. À une distance de trois cents mètres, au minimum, des côtes, les cendres sont dispersées depuis un bateau. Depuis la côte, tous ceux qui ne désirent pas embarquer, peut suivre le rituel. En somme, la dispersion des cendres dans une propriété privée est interdite même dans le jardin de la proche du défunt.